Avec un téléphone toujours à portée de main et des services numériques utilisés au quotidien (vidéo, musique, etc.), les impacts environnementaux associés à ces usages ne cessent de croître.
Pour poser des bases objectives et mieux comprendre ces enjeux, la nouvelle étude de GreenIT permet de répondre à des questions essentielles :
- Impact ? Ok, mais dans quelles proportions ?
- Quelle est précisément notre empreinte numérique ?
- De quoi est-elle constituée ?
- Et quelle est sa dynamique ?
Au-delà des chiffres qui peuvent paraître vertigineux et qui dépassent complètement notre imagination, ce rapport propose de nombreuses préconisations. Vous constaterez que la plupart d’entre elles ne sont pas compliquées à mettre en œuvre mais nécessitent cependant une évolution radical des usages.
Parmis ces solutions, je retiens particulièrement l’écoconception des services numériques. Cette approche vise à s’interroger sur les éléments strictement nécessaires à l’accomplissement des objectifs que nous confions aux outils digitaux. Par exemple, la mise en place d’un vidéo HD qui se lance toute seule sur une page d’accueil permet-elle vraiment de générer de meilleurs contacts ? N’y a-t-il pas des solutions moins gourmandes qui auraient la même efficacité, voir même encore beaucoup plus d’efficacité !
Notre travail de conseil et d’accompagnement doit passer l’outil au second rang, pour ce concentrer d’avantage sur l’usage.
Cette étude « Empreinte environnementale du numérique mondial » permet de répondre à ces interrogations, mais aussi de proposer des solutions très concrètes pour agir !
Elle a été réalisée par GreenIT.fr avec le soutien de contributeurs et de l’Institut du numérique responsable, et porte sur l’empreinte environnementale du numérique mondial et son évolution de 2010 à 2025.
Vous pourrez trouver une synthèse des conclusions les plus importantes de l’étude sur le site de GreenIT ou consulter l’étude complète en cliquant sur le bouton ci-dessous.